pour l adolescente ;la lecture est un remèdes contre sa
poignante solitude
« je n’étais plus seule »
C’est aussi un moyen qui lui permet de combattre sa
souffrance
« Mon propre mal de vivre y trouvais un écho fraternel »
Elle lui permet aussi de se comprendre
« je m étonnai……si
fort mon cœur »
2) l héroïne se sent différente des autres
un peu supérieure par sa culture,
à
sa famille qui
est ignorante se contentant des
choses plates de la vie quotidienne comme par exemple les préoccupations matérielles
,le verbe s’élever
est utilisé au sens figuré
La comparaison : je me considérais comme la noble fleur de lotus,forcée de tremper ses
racines dans la vase
Condescendance signifie u……..ne attitude bienveillante mais enrobée d’un peu de mepris
3)que est un pronom
relatif :
je trouvais la vie que nous
menions :la fonction de COD
un
endroit que je pourrais décorer : pronom relatif
COD
b)La comparaison de ces deux phrases montre que la chambre qu elle a obtenue est loin d’etre la chambre de ses rêves , que sa déception
est grande
.
4) la mère fut d’abord
étonnée de cette demande d une
chambre individuelle ;mais elle essaie au moins de satisfaire ce
caprice parce que le séjour de sa fille
sera de courte durée .
)Entre deux
cultures :
5)Les marques de l énonciation
Pronom je
Les possessifs
notre ma
Les modalisateurs et le lexique ; tous les jugements
que le narrateur porte sur lui et sa
famille(relevez les du texte)
Il s agit du genre autobiographique
6) deux modes de culture
sont évoqués dans le texte :
a) celle de la jeune fille, une culture administrée par le
couvent qui les initie au mode dela littérature
et autre savoirs
b) celle de la famille inculte, qui reste ignorante ,terre a
terre ,ils sont des paysans et ils vont le rester le restant de leur vie
incapables d’évoluer
7)la fille ressent un malaise dans cette famille , trop de différence
avec sa famille ,elle raffinée par sa
culture et eux sombrant dans l ignorance
« je trouvais …a vie que nous
menions dénuée d’élégance » « Je m’agaçais des préoccupations….de ma mère » « mo
propre mal de vivrre
la construction des phrases est courte, circoncise mais lancinante .Chaque phrase exprime un mal
de vivre chez le personnage.
Je pense que la narratrice ne doit pas se considérer supérieure
et manifester un mépris pour a sa famille , ce sentiment est injustifié
parce que elle doit aimer les siens quel que soit leur situation et en plus ,il ne faut
pas oublier que se sont eux qui lui ont donné l’opportunité d’entrer au couvent et d’acquérir cette
culture dont elle
se sert maintenant pour les écraser d’un regard
dédaigneux .Elle doit aussi apprécier les gestes tendres de sa mère envers elle et ne pas se monter égoïste et ingrate
.
Synthèse.
La narratrice n arrive a se retrouver dans le milieu de sa famille .Il est partagée
entre l ideal d’ un monde romanesque que lui procure sa
lecture des romans par des personnages hors du commun ,sa culture et sa vie au couvent ET un monde réel vécu par sa famille fait du quotidien et de
platitude .Entre ces deux monde ,la narratrice est en mal de vivre.