Sagot :
Un horrible et méchant serpent,Se promène dans un petit village.Il en insulte tous les personnages!Rampant plus loin il voit le roi des animaux,En train de chasser une proie,En l'occurrence un rat.Le serpent rejoignit le lionEt se montra très impoli :"Vous êtes aussi gros qu'un veau,Et aussi vert qu'un escargot."Le roi le fit guillotiner."Quand on est impoli,On finit par être puni." c'est une fable que on devait faire en classe
Deux végétaux au bord de l'eau co-existaient
Un chêne, majestueux et fier
Et un roseau, discret et peu bavard
Le chêne ne manquait jamais de faire remarquer :
"voyez comme je suis beau, voyez mon importance,
à côté de ce misérable roseau,
Le roseau ployait la tête et se taisait,
blessé du peu de considération dont il était l'objet
Un jour, une terrible tempête les malmena
Et le chêne en eut deux branches amputées
Tandis que le roseau se baissait au gré du vent
Puis la foudre s'abatit et éventra l'arbre majestueux
Tandis que le roseau toujours résistait
C'est alors que le roseau prit la parole:
"Et maintenant, qui de nous deux est le plus royal?
A ta place, j'aurais honte de m'exposer ainsi à tout venant"
Le roseau tenait sa vengence,
et le chêne, sa punition.
Ainsi en va-t-il de tout être :
"Les gens sans bruit sont dangereux,
Il n'en est pas ainsi des autres."
L'adage qui dit de se méfier des gens calmes car il peuvent s’avérer être les plus dangereux se retrouve dans des traces écrites du XIVème s. , notamment sous la forme : "Il n'est pire eau que celle qui dort.".
Voilà un illustration possible au travers d'une fable, mais tu peux laisser libre cour à ton imagination.
Un chêne, majestueux et fier
Et un roseau, discret et peu bavard
Le chêne ne manquait jamais de faire remarquer :
"voyez comme je suis beau, voyez mon importance,
à côté de ce misérable roseau,
Le roseau ployait la tête et se taisait,
blessé du peu de considération dont il était l'objet
Un jour, une terrible tempête les malmena
Et le chêne en eut deux branches amputées
Tandis que le roseau se baissait au gré du vent
Puis la foudre s'abatit et éventra l'arbre majestueux
Tandis que le roseau toujours résistait
C'est alors que le roseau prit la parole:
"Et maintenant, qui de nous deux est le plus royal?
A ta place, j'aurais honte de m'exposer ainsi à tout venant"
Le roseau tenait sa vengence,
et le chêne, sa punition.
Ainsi en va-t-il de tout être :
"Les gens sans bruit sont dangereux,
Il n'en est pas ainsi des autres."
L'adage qui dit de se méfier des gens calmes car il peuvent s’avérer être les plus dangereux se retrouve dans des traces écrites du XIVème s. , notamment sous la forme : "Il n'est pire eau que celle qui dort.".
Voilà un illustration possible au travers d'une fable, mais tu peux laisser libre cour à ton imagination.