Sagot :
Le je renvoie à deux périodes de la vie du narrateur
Le je enfant moment du souvenir narré
avec le passé simple et l’imparfait
Le je narrateur adulte qui fait des réflexions au moment de l écriture , il utilise le présent de l énonciation : je me souviens
2) Dans son livre le narrateur évoque ses dix premières années de sa vie ,dans la ligne 18 à 19 il parle des années après cette période c’est peut être dans sa jeunesse.
3) je sais aujourd’hui, il s’agit du présent de l énonciation qui renvoie au moment de l’écriture du souvenir, le narrateur dit ce qu’il pense en tant qu’adulte.
Que on jette il s agit du présent de vérité générale ,c’est une caractéristique connue de ce genre de grenade.
Le jeu de mémoire.
4) L’auteur est né en 1936, le souvenir qu’il raconte est survenu en 1944, il avait donc 8 ans.
Il vivait dans une pensions de Villard –de- Lans en zone libre parce qu’il était un orphelin issu d une famille juive polonaise.
5) Cet événement a marqué le narrateur enfant parce que
Cet acte de ravitailler les résistants était très risqué, ils devaient chercher des prétextes pour le faire. C était un acte courageux puisqu’ ils défient le redoutable ennemi nazi
Le narrateur était ébloui par ces maquisards armés qui défendent le pays.
Le sentiment qu’ il éprouve est la fierté parce que lui aussi même enfant a joué un rôle dans la guerre et a accompli un acte héroïque en ravitaillant clandestinement les résistants
6)les deux expressions qui marquent l incertitude du narrateur :
Je crois que c’étaient une douzaine.
Je ne me rappelle pas.
Le narrateur avoue que sa mémoire peut être défaillante ,qu il ne se souvient pas de certains détails, ceci donne plus de crédibilité à son récit
Le je narrateur adulte qui fait des réflexions au moment de l écriture , il utilise le présent de l énonciation : je me souviens
2) Dans son livre le narrateur évoque ses dix premières années de sa vie ,dans la ligne 18 à 19 il parle des années après cette période c’est peut être dans sa jeunesse.
3) je sais aujourd’hui, il s’agit du présent de l énonciation qui renvoie au moment de l’écriture du souvenir, le narrateur dit ce qu’il pense en tant qu’adulte.
Que on jette il s agit du présent de vérité générale ,c’est une caractéristique connue de ce genre de grenade.
Le jeu de mémoire.
4) L’auteur est né en 1936, le souvenir qu’il raconte est survenu en 1944, il avait donc 8 ans.
Il vivait dans une pensions de Villard –de- Lans en zone libre parce qu’il était un orphelin issu d une famille juive polonaise.
5) Cet événement a marqué le narrateur enfant parce que
Cet acte de ravitailler les résistants était très risqué, ils devaient chercher des prétextes pour le faire. C était un acte courageux puisqu’ ils défient le redoutable ennemi nazi
Le narrateur était ébloui par ces maquisards armés qui défendent le pays.
Le sentiment qu’ il éprouve est la fierté parce que lui aussi même enfant a joué un rôle dans la guerre et a accompli un acte héroïque en ravitaillant clandestinement les résistants
6)les deux expressions qui marquent l incertitude du narrateur :
Je crois que c’étaient une douzaine.
Je ne me rappelle pas.
Le narrateur avoue que sa mémoire peut être défaillante ,qu il ne se souvient pas de certains détails, ceci donne plus de crédibilité à son récit