Sagot :
Ô toi Vague vrombissante,
Tu provoques en moi ébahissement qui t'es du,
Et cela malgré ta mélodie assourdissante(/bruyante),
Tu observeras en moi l'admiration attendue.
Ô toi Vague saisissante,
De trop nombreuses fois tu auras accueilli,
Dans ton bouche grande et puissante,
Les carcasses de nombreux de mes amis !
Ô toi Vague désespérante,
Après avoir accueilli tes victimes,
Tu t'échoues tels une femme aimante,
Au pied des personnes qui pleurent ton crime !
poème dédié à ''La Grande Vague de Kanagawa'' de Hokusai
Ô je t'admire toi grande Rafale,
Lorsque que je te vois plier le plus solide des combattants,
Et je loue ta force phénoménale,
Ô toi qui fait plier les Titans du Temps
Ô je t'envie toi simple coup de vent,
Qui voyage par delà les frontières,
Au gré des humeurs de Eole ton amant,
Avec qui tu voyage tout autour de la Terre.
Ô Emporte-moi à tes cotés Souffle de l'avenir,
Je me verrais déjà près des côtes de Monastir,
Buvant un cocktail les pieds enfoncés dans le sable,
Profitant d'un avenir riche et confortable.
"Après le calme la tempête"
Comme dirait n'importe quel poète,
Mais les avis divergent quant à la vérité,
Que ce dicton pourrait bien apporté.
Ô Toi Tempête désespérante,
Abrège les souffrances des peuples que tu hantes.
poème dédié au ''Coup de Vent'' de Millet
Désolée la fin est partie en cacahuète... ^^'
Tu provoques en moi ébahissement qui t'es du,
Et cela malgré ta mélodie assourdissante(/bruyante),
Tu observeras en moi l'admiration attendue.
Ô toi Vague saisissante,
De trop nombreuses fois tu auras accueilli,
Dans ton bouche grande et puissante,
Les carcasses de nombreux de mes amis !
Ô toi Vague désespérante,
Après avoir accueilli tes victimes,
Tu t'échoues tels une femme aimante,
Au pied des personnes qui pleurent ton crime !
poème dédié à ''La Grande Vague de Kanagawa'' de Hokusai
Ô je t'admire toi grande Rafale,
Lorsque que je te vois plier le plus solide des combattants,
Et je loue ta force phénoménale,
Ô toi qui fait plier les Titans du Temps
Ô je t'envie toi simple coup de vent,
Qui voyage par delà les frontières,
Au gré des humeurs de Eole ton amant,
Avec qui tu voyage tout autour de la Terre.
Ô Emporte-moi à tes cotés Souffle de l'avenir,
Je me verrais déjà près des côtes de Monastir,
Buvant un cocktail les pieds enfoncés dans le sable,
Profitant d'un avenir riche et confortable.
"Après le calme la tempête"
Comme dirait n'importe quel poète,
Mais les avis divergent quant à la vérité,
Que ce dicton pourrait bien apporté.
Ô Toi Tempête désespérante,
Abrège les souffrances des peuples que tu hantes.
poème dédié au ''Coup de Vent'' de Millet
Désolée la fin est partie en cacahuète... ^^'