Sagot :
tu peut aussi : samedi 12 septembre 1858. Le corps d'une femme sans vie à été
découvert sur les berges de la Seine à Croisset. Détail étrange : elle
tenait dans ses mains un exemplaire détrempé de madame bovary, dont la
publication fit grand bruit l'année dernière.
Tu peux dire que c'était une femme, tel Emma bovary, qui s'identifiait à ses personnages de roman, vivait dans son monde, n'avait pas vraiment conscience des autres. Elle avait un Mari un petit garçon (pour changer de la fille d' Emma) et qu'elle avait des relations extra conjugal. Fille de boulanger, ou d'un artisan, elle épouse son Mari 2 ans plus tôt car il sort tout juste de ses études d'apothicaire. Puis vite déçu par la réalité de leur relation, elle commence des relations extra conjugal, achète des meubles, tapisseries, robes avec l'argent de son mari et à la fin ruiné, elle décide de se suicider.
Enfin là je me suis beaucoup inspiré de Mme B, mais tu peux partir sur quelque chose comme ça, ou alors, c'est une femme qui avait une relation amoureuse avec Flaubert, mais c'était trop destructeur, et elle a finit par mettre fin à ses jours. Sachant que Flaubert a dit au tribunal, lorsqu'il fut jugé pour atteinte aux bonnes moeurs avec ce livre : "mme bovary c'est moi"
Tu peux dire que c'était une femme, tel Emma bovary, qui s'identifiait à ses personnages de roman, vivait dans son monde, n'avait pas vraiment conscience des autres. Elle avait un Mari un petit garçon (pour changer de la fille d' Emma) et qu'elle avait des relations extra conjugal. Fille de boulanger, ou d'un artisan, elle épouse son Mari 2 ans plus tôt car il sort tout juste de ses études d'apothicaire. Puis vite déçu par la réalité de leur relation, elle commence des relations extra conjugal, achète des meubles, tapisseries, robes avec l'argent de son mari et à la fin ruiné, elle décide de se suicider.
Enfin là je me suis beaucoup inspiré de Mme B, mais tu peux partir sur quelque chose comme ça, ou alors, c'est une femme qui avait une relation amoureuse avec Flaubert, mais c'était trop destructeur, et elle a finit par mettre fin à ses jours. Sachant que Flaubert a dit au tribunal, lorsqu'il fut jugé pour atteinte aux bonnes moeurs avec ce livre : "mme bovary c'est moi"