Sagot :
J étais dans la ferme de Félix, c’était un « bastidon »
au bord de la route dont les volets étaient toujours fermés parce
que Félix était maçon, ne rentrait pas avant le soir ;
mais pendant son absence, je gardais ses
richesses. J’étais un chien immense ,
si maigre qu’on eut dit un squelette velu
.Je bondissais vers les passants
, mais je m étranglais au bout d’une chaine, dont l’épaisseur était for t heureusement proportionnée à ma férocité.
Un jour, je vis Marcel en compagnie d’Isabelle. Je le reconnus tout de suite. J’entendis Isabelle lui dire que si il me caressait, il serait nommé Capitaine du garde du palais. Sans la moindre hésitation apparente, il s’avança vers moi en comptant peut être sur le magnétisme bien connu du regard de l homme et la solidité de la chaine J’étais tellement excité a sa vue, je bondis d’un élan si prodigieux que la boucle du collier céda. Isabelle poussa un cri ,lu i ,il esquissa un bond en arrière. ; trop tard mes longues pattes agrippèrent ses épaules . IL était comme mort de peur peut être a cause de mes canines aussi grandes et aussi pointues que des berloques d’explorateur .De toute ses forces, il me repoussa. IL fut si étonné en voyant m a longue langue lui lécher furieusement le visage en poussant de longs gémissements. Je m’aplatis ensuite a ses pieds en pleurant de joie.
Un jour, je vis Marcel en compagnie d’Isabelle. Je le reconnus tout de suite. J’entendis Isabelle lui dire que si il me caressait, il serait nommé Capitaine du garde du palais. Sans la moindre hésitation apparente, il s’avança vers moi en comptant peut être sur le magnétisme bien connu du regard de l homme et la solidité de la chaine J’étais tellement excité a sa vue, je bondis d’un élan si prodigieux que la boucle du collier céda. Isabelle poussa un cri ,lu i ,il esquissa un bond en arrière. ; trop tard mes longues pattes agrippèrent ses épaules . IL était comme mort de peur peut être a cause de mes canines aussi grandes et aussi pointues que des berloques d’explorateur .De toute ses forces, il me repoussa. IL fut si étonné en voyant m a longue langue lui lécher furieusement le visage en poussant de longs gémissements. Je m’aplatis ensuite a ses pieds en pleurant de joie.