Sagot :
La contraception :
C'est ce qui permet à deux personnes de sexe opposé d'éviter une grossesse et la maladie (IST)ou à deux personnes de même sexe d'éviter la maladie (IST). Il faudrait associer ce moyen de contraception à tous les autres qui ne protègent en rien de la maladie.
Nous avons de la chance, car en France, par le biais du planning familial, nous pouvons nous fournir gratuitement, anonymement et librement de la contraception nécessaire pour les adolescents. En général, le type de contraception ne nous est pas imposé, nous avons une large gamme de choix mais il faut quand même en discuter confidentiellement bien sûr, avec son médecin généraliste ou son gynécologue.Celui-ci prescrira le moyen choisi, sans forcément avoir recours à un examen poussé.
De plus, comme je l'ai dit plus haut, la contraception est un recours efficace pour ne pas attraper d'infections sexuellement transmissibles (telles que le SIDA), si on utilise le préservatif. Cependant, le contraceptif le plus utilisé aujourd’hui est la pilule, mais il faut qu'elle soit prise à heures fixes pour son efficacité. Le stérilet (ou dispositif intra-utérin) est un petit objet que le médecin insère dans l’utérus, c'est une méthode fiable car il n’y a pas de risque d’oubli de pilule mais elle n'est pas indiquée dans la mesure où la patiente n'a jamais eu de grossesse.Il existe également l’implant contraceptif qui est un petit bâtonnet en plastique qu'on implante sous la peau du bras après avoir effectué une anesthésie locale, cette méthode est efficace pour 3 ans et est aussi utile contre l'oubli de la prise de pilule. Le patch contraceptif est un patch que l'on colle soi-même sur une partie de la peau une fois par semaine pendant 3 semaines chaque mois. Il y a également l’anneau vaginal est un anneau souple à placer soi-même dans le vagin de la même façon qu'un tampon, méthode hormonale mais qui reste cependant pas très utilisée en France. Aucune de ces méthodes contraceptives ne protège du VIH/sida et des infections sexuellement transmissibles.
C'est ce qui permet à deux personnes de sexe opposé d'éviter une grossesse et la maladie (IST)ou à deux personnes de même sexe d'éviter la maladie (IST). Il faudrait associer ce moyen de contraception à tous les autres qui ne protègent en rien de la maladie.
Nous avons de la chance, car en France, par le biais du planning familial, nous pouvons nous fournir gratuitement, anonymement et librement de la contraception nécessaire pour les adolescents. En général, le type de contraception ne nous est pas imposé, nous avons une large gamme de choix mais il faut quand même en discuter confidentiellement bien sûr, avec son médecin généraliste ou son gynécologue.Celui-ci prescrira le moyen choisi, sans forcément avoir recours à un examen poussé.
De plus, comme je l'ai dit plus haut, la contraception est un recours efficace pour ne pas attraper d'infections sexuellement transmissibles (telles que le SIDA), si on utilise le préservatif. Cependant, le contraceptif le plus utilisé aujourd’hui est la pilule, mais il faut qu'elle soit prise à heures fixes pour son efficacité. Le stérilet (ou dispositif intra-utérin) est un petit objet que le médecin insère dans l’utérus, c'est une méthode fiable car il n’y a pas de risque d’oubli de pilule mais elle n'est pas indiquée dans la mesure où la patiente n'a jamais eu de grossesse.Il existe également l’implant contraceptif qui est un petit bâtonnet en plastique qu'on implante sous la peau du bras après avoir effectué une anesthésie locale, cette méthode est efficace pour 3 ans et est aussi utile contre l'oubli de la prise de pilule. Le patch contraceptif est un patch que l'on colle soi-même sur une partie de la peau une fois par semaine pendant 3 semaines chaque mois. Il y a également l’anneau vaginal est un anneau souple à placer soi-même dans le vagin de la même façon qu'un tampon, méthode hormonale mais qui reste cependant pas très utilisée en France. Aucune de ces méthodes contraceptives ne protège du VIH/sida et des infections sexuellement transmissibles.