Sagot :
-Chaque individu
possède dans son génome des gènes qui caractérisent son espèce et des allèles
qui le rendent unique parmi les siens, suite aux brassages génétiques survenant
lors de la méiose et de la fécondation.
Les allèles
apparaissent au cours de l’évolution par mutation. Les nouveaux gènes
proviennent de duplication de gènes ancestraux dont la séquence évolue sous la
contrainte du milieu : de nouvelles espèces apparaissent.
-Ces processus génétiques ne sont pas les seuls à l’origine de la diversification des génomes. En effet, de nombreuses espèces végétales apparaissent suite à l’hybridation de deux espèces parents conduisant à un remaniement chromosomique. Cette hybridation peut être suivie d’une polyploïdisation, ce qui va fortement modifier le contenu génétique des individus en multipliant le nombre des copies des gènes. Ces deux mécanismes peuvent conduire à la naissance de nouvelles espèces.
- Ensuite les rétrovirus semblent avoir aussi joué un rôle dans l’évolution des espèces. Ils ont la capacité d’intégrer leur génome dans celui de la cellule hôte. Si cette intégration se fait au niveau des cellules germinales et est stable, les gènes d’origine viraux peuvent être transmis à la descendance et conduire à l’acquisition de nouveaux caractères pouvant favoriser l’apparition d’une nouvelle espèce.
Enfin, la mutation des gènes« architectes », les gènes homéotiques, peut conduire à la disparition d’un organe, ou à sa mise en place dans un nouvel endroit de l’organisme. Elle peut aussi conduire à sa mise en place prématurée ou retardée. C’est l’ hétérochronie. Ainsi, la morphologie et l’organisation de l’organisme seront modifiées au cours du développement embryonnaire, ce qui pourra donner naissance à une nouvelle espèce.
-Pour ce qui est de la disparition des espèces, les raisons sont des mutations chromosomiques successives menant à l’affaiblissement de l’espèce.
Un motif majeur est aussi la survenue d’une crise biologique consécutive à la modification de l’écosystème ( ex : disparition des mammouths suite au réchauffement climatique). Cette modification peut être aléatoire ou résulter de l’activité humaine.
-Ces processus génétiques ne sont pas les seuls à l’origine de la diversification des génomes. En effet, de nombreuses espèces végétales apparaissent suite à l’hybridation de deux espèces parents conduisant à un remaniement chromosomique. Cette hybridation peut être suivie d’une polyploïdisation, ce qui va fortement modifier le contenu génétique des individus en multipliant le nombre des copies des gènes. Ces deux mécanismes peuvent conduire à la naissance de nouvelles espèces.
- Ensuite les rétrovirus semblent avoir aussi joué un rôle dans l’évolution des espèces. Ils ont la capacité d’intégrer leur génome dans celui de la cellule hôte. Si cette intégration se fait au niveau des cellules germinales et est stable, les gènes d’origine viraux peuvent être transmis à la descendance et conduire à l’acquisition de nouveaux caractères pouvant favoriser l’apparition d’une nouvelle espèce.
Enfin, la mutation des gènes« architectes », les gènes homéotiques, peut conduire à la disparition d’un organe, ou à sa mise en place dans un nouvel endroit de l’organisme. Elle peut aussi conduire à sa mise en place prématurée ou retardée. C’est l’ hétérochronie. Ainsi, la morphologie et l’organisation de l’organisme seront modifiées au cours du développement embryonnaire, ce qui pourra donner naissance à une nouvelle espèce.
-Pour ce qui est de la disparition des espèces, les raisons sont des mutations chromosomiques successives menant à l’affaiblissement de l’espèce.
Un motif majeur est aussi la survenue d’une crise biologique consécutive à la modification de l’écosystème ( ex : disparition des mammouths suite au réchauffement climatique). Cette modification peut être aléatoire ou résulter de l’activité humaine.