Bonjour à tous j'aurais besoin d'aide pour un devoir de Français.
Alors il faut écrire le récit d'une bataille entre un soldat, armé d'une massue et un groupe d'ennemis(qui gagne à la fin).
Ce sont les sont consignes le reste il faut l'inventer.


Sagot :

Ce soldat était seulement armée d'une simple massue mais les ennemis étaient nombreux et le soldat ne pouvait se défendre seul . Pendant de longs moments il se cachait par la peur des ennemies ... LA SUITE JE NEN SAIT ABSOLUMENT RIEN DESOLER
Le soldat tentait de ne pas haleter et de calmer les battements de son cœur.  Ses camarades étaient partis en jeep cinq minutes auparavant, sans même se rendre compte de son absence. Il faut dire que personne n'avait envie de faire long feu à cet endroit. Le petit hameau où il se trouvait encore avait essuyé des bombardements ennemis et comme sa patrouille se trouvait non loin, elle était partie inspecter rapidement les lieux à la recherche de civils rescapés, ou de nourriture abandonnée.  Tout était bon à prendre par ces temps difficiles et la survie était devenue un exercice quotidien.
Il était descendu dans une cave et y avait découvert une cache alors que le reste de la troupe se regroupait pour quitter les lieux. Il n'avait rien entendu et fut donc ébahi lorsqu'il se rendit compte qu'il avait été abandonné à son propre sort.
Ce n'est que quelques minutes après qu'il a réalisé qu'il n'était pas seulement en difficulté mais aussi en danger vital, lorsqu'il aperçut des lumières qui se rapprochaient. Puis il entendit le bruit des moteurs des véhicules tout terrain s'amplifier. Il se dit que sa seule chance résidait peut-être dans la cache qu'il avait trouvée. Il redescendit aussi vite dans la cave avant d'être identifié. Il eut le réflexe de ramasser une sorte de batte qui traînait sur le sol poussiéreux avant de s'enfermer dans le cagibi. Il avait chaud et était en alerte.  Pendant un long moment, il ne se passa rien. Il croyait qu'il allait éviter le pire et commençait à se calmer. Mais subitement, un bruit de pas lourds emplit l'escalier de bois qui menait à la cave et il retint une fois de plus sa respiration.  Une ombre passa et repassa devant la cache.  Rien. Puis le son redouté de la cloison qu'on arrache et lui, aveuglé par une lampe-torche puissante. Il ne réfléchit pas et se jeta sur son adversaire en le frappant avec le gourdin. Mais trop tard, le cri de l'autre avait donné l'alerte et déjà, un autre soldat dévalait les escaliers. Celui-là fut lui aussi accueilli par des coups mais il ne fut pas mis hors d'état de nuire pour autant. Notre soldat se battait avec la rage du désespoir tandis que d'autres du camps adverse le rejoignirent. C'est alors qu'il fut mis en joue par un d'entre eux et que le coup partit. Il le reçut dans l'épaule, non loin du cœur. Il savait que cette blessure ne serait pas mortelle s'il était soigné mais que ce premier coup de feu ne serait pas non plus le dernier. Passé le moment de la surprise, un éclair de douleur fulgurant le traversa. Un second coup de feu eut raison de lui : il tomba à la renverse et le noir se fit dans sa conscience. Il expirait son dersoufle quand un de ses camarades demanda où il était passé...