Sagot :
il faut que le personnage est tout seule ou il peut avoir 2 personnage
?
?
Je gardais les yeux fermées, j'étais fatiguée, je n'avais pas encore envie de les ouvrir.
J'avais dû dormir longtemps ce matin car je sentais la chaleur du soleil sur mon bras.
J'ouvris doucement les yeux, je n'avais pas envie de discuter avec ma mère si elle était dans la chambre pour voir si j'étais réveillée.Mais ce que je vis m'étonna. Je n'étais pas chez moi. J'étais dans une chambre aux murs blancs, Je penchais la tête sur le côté je vis que mon lit était sur roulette et que ma porte contenait une vitre.Plus de doute j'étais dans une chambre d’hôpital .J 'avais à mon bras un tuyau qui était raccordé à une machine.Qu'est -ce que je faisais là? Incroyable, je n'en savais rien.Mais du coup, j'aurais bien aimé voir ma mère .J' 'observais, mes mains, mes jambes, mes pieds, bon tout allait bien.Mais mon visage, je ne voyais pas mon visage , et si j'avais eu un accident et si j'étais défigurée .Mon Dieu, mais que c'était il passé? Dans quel hôpital étais-je , bon pas de panique, au moins j'étais vivante, je pensais, je réfléchissais, donc mon cerveau n'était pas atteint , et je voyais je n'étais pas aveugle , enfin..................
je ne voyais rien dans ma tête qui pouvait m'indiquer ma présence dans ce lit d’hôpital.
Soudain , dehors, j'entendis un chien aboyer, et tout à coup , j'eus mal à la tête , je portais ma main sur mes cheveux, je touchais un bandage.JE me souvenais d' avoir crié , puis rien .Pourquoi cet aboiement m' a fait porter la main sur mes cheveux.Je fermais les yeux pour me concentrer.Je pensais, le chien, le chien. Une voiture , klaxonna .Voilà,
voilà ce qui se passait, j'étais là à cause d'un chien et d'une voiture. Mon vélo , mon vélo,
oui, voilà j'étais en vélo , un chien est passé , je l'ai évité mais je n'ai pas vu la voiture qui arrivait , je m'étais cognée dedans. Puis , je me souviens j'ai perdu connaissance dans la rue .Mais,je n'avais aucune idée du temps que j'avais passée dans cette chambre alors je vis un bouton sur le coté de mon lit.J'appuyais bien décidé à en savoir plus.
Voilà pour moi.
J'avais dû dormir longtemps ce matin car je sentais la chaleur du soleil sur mon bras.
J'ouvris doucement les yeux, je n'avais pas envie de discuter avec ma mère si elle était dans la chambre pour voir si j'étais réveillée.Mais ce que je vis m'étonna. Je n'étais pas chez moi. J'étais dans une chambre aux murs blancs, Je penchais la tête sur le côté je vis que mon lit était sur roulette et que ma porte contenait une vitre.Plus de doute j'étais dans une chambre d’hôpital .J 'avais à mon bras un tuyau qui était raccordé à une machine.Qu'est -ce que je faisais là? Incroyable, je n'en savais rien.Mais du coup, j'aurais bien aimé voir ma mère .J' 'observais, mes mains, mes jambes, mes pieds, bon tout allait bien.Mais mon visage, je ne voyais pas mon visage , et si j'avais eu un accident et si j'étais défigurée .Mon Dieu, mais que c'était il passé? Dans quel hôpital étais-je , bon pas de panique, au moins j'étais vivante, je pensais, je réfléchissais, donc mon cerveau n'était pas atteint , et je voyais je n'étais pas aveugle , enfin..................
je ne voyais rien dans ma tête qui pouvait m'indiquer ma présence dans ce lit d’hôpital.
Soudain , dehors, j'entendis un chien aboyer, et tout à coup , j'eus mal à la tête , je portais ma main sur mes cheveux, je touchais un bandage.JE me souvenais d' avoir crié , puis rien .Pourquoi cet aboiement m' a fait porter la main sur mes cheveux.Je fermais les yeux pour me concentrer.Je pensais, le chien, le chien. Une voiture , klaxonna .Voilà,
voilà ce qui se passait, j'étais là à cause d'un chien et d'une voiture. Mon vélo , mon vélo,
oui, voilà j'étais en vélo , un chien est passé , je l'ai évité mais je n'ai pas vu la voiture qui arrivait , je m'étais cognée dedans. Puis , je me souviens j'ai perdu connaissance dans la rue .Mais,je n'avais aucune idée du temps que j'avais passée dans cette chambre alors je vis un bouton sur le coté de mon lit.J'appuyais bien décidé à en savoir plus.
Voilà pour moi.