Sagot :
L’évolution du pouvoir d’achat du revenu par ménage conduit à une croissance amortie du pouvoir d’achat.
Pour cette raison, l’Insee publie le pouvoir d’achat par ménage ainsi que d’autres indicateurs qui tiennent compte de la composition d’un ménage. Le passage à l’€ c’est un révélateur du décalage entre inflation mesurée et inflation perçue. Une autre source de différence de perception relative au pouvoir d’achat tient au décalage entre la mesure de l'inflation et l'opinion des ménages sur celle-ci.
Les ménages font très attention aux prix de certains produits qui ont augmenté considérablement et dont la fréquence d’achat est élevée. La très forte hausse du prix de certains produits, comme le prix des carburants, peut contribuer à alimenter l’idée chez certains ménages d’une inflation assez vive. À l’inverse, les ménages sont moins sensibles aux baisses de prix de biens qu’ils achètent peu souvent, notamment ceux liés aux technologies de l’information et de la communication. Ils ne prennent pas toujours en compte non plus des baisses de prix importantes de biens plus courants, comme par exemple la baisse du prix des carburants lorsqu’elle se produit.
En fait, selon les produits et les lieux de ventes, les prix baissent, ne bougent pas ou augmentent. Pour mesurer la moyenne des évolutions de prix, l’Insee relève des dizaines de milliers de prix chaque mois dans près de 27 000 points de vente. Le décalage entre inflation mesurée et inflation perçue s’est en outre accentuée depuis le passage à l’euro.
Pour cette raison, l’Insee publie le pouvoir d’achat par ménage ainsi que d’autres indicateurs qui tiennent compte de la composition d’un ménage. Le passage à l’€ c’est un révélateur du décalage entre inflation mesurée et inflation perçue. Une autre source de différence de perception relative au pouvoir d’achat tient au décalage entre la mesure de l'inflation et l'opinion des ménages sur celle-ci.
Les ménages font très attention aux prix de certains produits qui ont augmenté considérablement et dont la fréquence d’achat est élevée. La très forte hausse du prix de certains produits, comme le prix des carburants, peut contribuer à alimenter l’idée chez certains ménages d’une inflation assez vive. À l’inverse, les ménages sont moins sensibles aux baisses de prix de biens qu’ils achètent peu souvent, notamment ceux liés aux technologies de l’information et de la communication. Ils ne prennent pas toujours en compte non plus des baisses de prix importantes de biens plus courants, comme par exemple la baisse du prix des carburants lorsqu’elle se produit.
En fait, selon les produits et les lieux de ventes, les prix baissent, ne bougent pas ou augmentent. Pour mesurer la moyenne des évolutions de prix, l’Insee relève des dizaines de milliers de prix chaque mois dans près de 27 000 points de vente. Le décalage entre inflation mesurée et inflation perçue s’est en outre accentuée depuis le passage à l’euro.