Sagot :
La citoyenneté à Athènes et à Rome
Introduction :
Depuis l'antiquité, les citoyens sont actifs dans la vie politique d'Athèes
C'est ensuite que l'empire romain a pris de l'ampleur et a pu se défendre par le biais d'une armée compétente qui a gagné tout d'abord la guerre d'Italie puis d'autres par la suite.
Rome au 8eme siècle avant Jésus Christ, domine complètement la Côte de la
mer Méditerranée. il y règne alors paix et de prospérité.
1) Ressemblances entre la démocratie athénienne du Ve siècle avant JC et la République romaine du IIIe siècle avant JC.
a) La citoyenneté :
La cité d'Athènes compte 400 000 habitants qui sont répartis de la façon suivante :
- les citoyens,
- les femmes,
- les esclaves,
- les métèques.
La femme n'obtient pas sa place dans ce milieu, elle n'a aucun droit et ne sert qu'à se marier, entretenir le foyer, éduquer les enfants et tisser.
Les métèques sont des étrangers résidant à Athènes, et n'ont qu'une protection juridique. Ils peuvent aussi joindre l’armée de la cité. Le vote de l’Ecclésia pourra leur permettre d'être citoyen à part entière, en contre partie d'un service rendu à Athènes.
Les esclaves sont soumis a leur maitres et n’ont pas de droit. Leur maître ne peut cependant pas les tuer.
À -508 Clisthène promulgue 2 lois, la première intéressante pour obtenir la citoyenneté des pauvres et la deuxième motive la réorganisation de dems (les tribus).
À Athènes jusqu’en 451, pour qu’un homme soit nommé athénien il suffisait que son père le soit mais après une réforme de Périclès, il fallait que les deux parents soient Athéniens, que l'enfant soit reconnu par le père. Mais, naître citoyen n'est pas toujours suffisant et vers l’âge de 18 ans, les jeunes devaient absolument avoir une base d'éducation militaire durant deux ans (l’éphébie) afin d'être reconnu citoyen. La citoyenneté est la participation obligatoire à la vie politique, les décisions politiques sont prises par tous les citoyens, c’est une démocratie directe. Les citoyens pauvres, par manque d'éducation, ne peuvent pas rivaliser avec les citoyens riches ce qui met un frein pour ceux des campagnes à participer à la vie politique.
L’Empire romain comprenait 3 catégories de peuples : les romains (citoyens romains et les esclaves), les pérégrins ou les affranchis (étrangers non citoyens) puis les barbares (les étrangers en dehors de l’empire). La citoyenneté était obtenue par droit de sang. Des pérégrins qui ont fait 24 ans de service militaire peuvent-être citoyen romain. Les esclaves affranchis par leur maître ou leurs enfants dans certain cas peuvent aussi être citoyens romains.
Avec le temps, Rome étendit la citoyenneté aux populations conquises de l’Italie. Les gens n’avaient plus besoin d’habiter la cité pour être citoyen, mais les droits des citoyens variaient selon les régions de l’Empire. Très rapidement on atteint 6 millions d’habitants à Rome qui disposaient de quatre droits : le premier était de se marier avec un autre Romain ou Romaine, deuxièmement droit de propriété. Ensuite, il y avait le droit de vote et celui de participer à la vie politique. Le dernier était le droit d’un citoyen qui était accusé par un magistrat d’être jugé devant une assemblée, un peu comme l’héliée à Athènes.
Introduction :
Depuis l'antiquité, les citoyens sont actifs dans la vie politique d'Athèes
C'est ensuite que l'empire romain a pris de l'ampleur et a pu se défendre par le biais d'une armée compétente qui a gagné tout d'abord la guerre d'Italie puis d'autres par la suite.
Rome au 8eme siècle avant Jésus Christ, domine complètement la Côte de la
mer Méditerranée. il y règne alors paix et de prospérité.
1) Ressemblances entre la démocratie athénienne du Ve siècle avant JC et la République romaine du IIIe siècle avant JC.
a) La citoyenneté :
La cité d'Athènes compte 400 000 habitants qui sont répartis de la façon suivante :
- les citoyens,
- les femmes,
- les esclaves,
- les métèques.
La femme n'obtient pas sa place dans ce milieu, elle n'a aucun droit et ne sert qu'à se marier, entretenir le foyer, éduquer les enfants et tisser.
Les métèques sont des étrangers résidant à Athènes, et n'ont qu'une protection juridique. Ils peuvent aussi joindre l’armée de la cité. Le vote de l’Ecclésia pourra leur permettre d'être citoyen à part entière, en contre partie d'un service rendu à Athènes.
Les esclaves sont soumis a leur maitres et n’ont pas de droit. Leur maître ne peut cependant pas les tuer.
À -508 Clisthène promulgue 2 lois, la première intéressante pour obtenir la citoyenneté des pauvres et la deuxième motive la réorganisation de dems (les tribus).
À Athènes jusqu’en 451, pour qu’un homme soit nommé athénien il suffisait que son père le soit mais après une réforme de Périclès, il fallait que les deux parents soient Athéniens, que l'enfant soit reconnu par le père. Mais, naître citoyen n'est pas toujours suffisant et vers l’âge de 18 ans, les jeunes devaient absolument avoir une base d'éducation militaire durant deux ans (l’éphébie) afin d'être reconnu citoyen. La citoyenneté est la participation obligatoire à la vie politique, les décisions politiques sont prises par tous les citoyens, c’est une démocratie directe. Les citoyens pauvres, par manque d'éducation, ne peuvent pas rivaliser avec les citoyens riches ce qui met un frein pour ceux des campagnes à participer à la vie politique.
L’Empire romain comprenait 3 catégories de peuples : les romains (citoyens romains et les esclaves), les pérégrins ou les affranchis (étrangers non citoyens) puis les barbares (les étrangers en dehors de l’empire). La citoyenneté était obtenue par droit de sang. Des pérégrins qui ont fait 24 ans de service militaire peuvent-être citoyen romain. Les esclaves affranchis par leur maître ou leurs enfants dans certain cas peuvent aussi être citoyens romains.
Avec le temps, Rome étendit la citoyenneté aux populations conquises de l’Italie. Les gens n’avaient plus besoin d’habiter la cité pour être citoyen, mais les droits des citoyens variaient selon les régions de l’Empire. Très rapidement on atteint 6 millions d’habitants à Rome qui disposaient de quatre droits : le premier était de se marier avec un autre Romain ou Romaine, deuxièmement droit de propriété. Ensuite, il y avait le droit de vote et celui de participer à la vie politique. Le dernier était le droit d’un citoyen qui était accusé par un magistrat d’être jugé devant une assemblée, un peu comme l’héliée à Athènes.