Sagot :
1. La définition même de ce qui constitue une violence, a fortiori une violence « légitime », fait ainsi l'objet de débats politiques et philosophiques. Ce débat entre violence, force et justice est ramassé par Pascal dans un aphorisme célèbre des Pensées.( source wiki )
2. Je pense qu'une partie des arguments tiennent la route. En effet, ce qui est juste doit être suivi et si nécessaire, par la force. Mais la force est mise en œuvre par un procédé législatif complexe, qui n'avait peut-être pas cours au XVIIème sicle de Pascal.Le premier code unifié a été écrit bien plus tard par Napoléon.
La justice sans la force est en effet accusée car elle n'est éventuellement pas respectée et donc pas légitimée, ce qui entraine Pascal à déduire que ce qui est fort est juste. C'est précisément une justification sans équivoque de l'exercice du pouvoir royal qui n'a plus cours aujourd'hui. Le raccourci dans le raisonnement ne peuvent plus convaincre à l'heure actuelle.
Voilà, c'est mon mon avis qui vaut ce qu'il vaut, à toi de voir.
2. Je pense qu'une partie des arguments tiennent la route. En effet, ce qui est juste doit être suivi et si nécessaire, par la force. Mais la force est mise en œuvre par un procédé législatif complexe, qui n'avait peut-être pas cours au XVIIème sicle de Pascal.Le premier code unifié a été écrit bien plus tard par Napoléon.
La justice sans la force est en effet accusée car elle n'est éventuellement pas respectée et donc pas légitimée, ce qui entraine Pascal à déduire que ce qui est fort est juste. C'est précisément une justification sans équivoque de l'exercice du pouvoir royal qui n'a plus cours aujourd'hui. Le raccourci dans le raisonnement ne peuvent plus convaincre à l'heure actuelle.
Voilà, c'est mon mon avis qui vaut ce qu'il vaut, à toi de voir.