Sagot :
Le don de soi est-il une forme d’échange ?
La société est basée sur le travail d'équipe et sur l'échange des produits eus par le travail de chaque personne.
Un système économique, ou plutôt le capitalisme, prend en charge le monde actuel, son essence est donc le capital qui nous conduit a « profiter de la vie ».
Seulement profiter n'est pas donner, c'est justement son contraire, il contribue a son seul intérêt.
Malgré ce capitalisme le don fait-il parti de l’échange ou non ?
Donner par intérêt :
Ce n'est pas évident de se rendre compte ce jour que le don fait parti d'un échange car de plus en plus, pour donner il faut une motivation. C’est pour cela que l’on nous dit souvent « donner pour recevoir ».
Dans l'ensemble, on donne pour profiter de mieux en échange.
Une contrepartie :
Le don n’est que la moitié d’un échange. Selon Mauss, le don crée une obligation pour chacun des partenaires, une obligation de donner, et une obligation de rendre. Il appelle cela le contre-don.
Il est difficile d’accepter un cadeau d’un amis sans vouloir lui rendre la pareille.
Je pense même que le don est une dette, le fait de donner, oblige l’autre a rendre. Celui qui accepte un don, accepte d’avoir une dette en retour.
Alors si je refuse le cadeau d’un ami, je refuse cet engagement.
Pour ne pas avoir une dette, ou ne pas avoir à rendre, je ne dois pas accepter un don, mais dans ce cas je refuse tout échange et toute « liaison ».
Le don contribue à un bon fonctionnement d’une relation. Le fait d’échanger rapproche des personnes, contribuent à leur relation.
Pour en revenir à la dette après un don, ce n’est pas une dette négative, c’est une dette positive pour tout commencement d’une relation avec quelqu'un.
Donc d’après Mauss, le don est une forme d’échange, il crée des valeurs de lien, comme l’amitié, l’amour, la popularité.
La société est basée sur le travail d'équipe et sur l'échange des produits eus par le travail de chaque personne.
Un système économique, ou plutôt le capitalisme, prend en charge le monde actuel, son essence est donc le capital qui nous conduit a « profiter de la vie ».
Seulement profiter n'est pas donner, c'est justement son contraire, il contribue a son seul intérêt.
Malgré ce capitalisme le don fait-il parti de l’échange ou non ?
Donner par intérêt :
Ce n'est pas évident de se rendre compte ce jour que le don fait parti d'un échange car de plus en plus, pour donner il faut une motivation. C’est pour cela que l’on nous dit souvent « donner pour recevoir ».
Dans l'ensemble, on donne pour profiter de mieux en échange.
Une contrepartie :
Le don n’est que la moitié d’un échange. Selon Mauss, le don crée une obligation pour chacun des partenaires, une obligation de donner, et une obligation de rendre. Il appelle cela le contre-don.
Il est difficile d’accepter un cadeau d’un amis sans vouloir lui rendre la pareille.
Je pense même que le don est une dette, le fait de donner, oblige l’autre a rendre. Celui qui accepte un don, accepte d’avoir une dette en retour.
Alors si je refuse le cadeau d’un ami, je refuse cet engagement.
Pour ne pas avoir une dette, ou ne pas avoir à rendre, je ne dois pas accepter un don, mais dans ce cas je refuse tout échange et toute « liaison ».
Le don contribue à un bon fonctionnement d’une relation. Le fait d’échanger rapproche des personnes, contribuent à leur relation.
Pour en revenir à la dette après un don, ce n’est pas une dette négative, c’est une dette positive pour tout commencement d’une relation avec quelqu'un.
Donc d’après Mauss, le don est une forme d’échange, il crée des valeurs de lien, comme l’amitié, l’amour, la popularité.