Sagot :
Tu n’as demandé l’étude de la lettre de Louis, voici mon travail :
Comment Louis fait il ressortir sa solitude face à sa famille ?
On sent déjà la solitude de cet homme face à sa famille dès les premiers mots. « voici ce qui me reste , ce que j’ai gagné »Il ne parle pas d’amour mais d’argent . Il est seul avec son argent face à sa famille.
Il rajoute « années affreuses » si ses années avaient été si affreuses, c’est qu’il ne devait pas se plaire dans sa famille, qu’il devait se sentir isolé pour le dire des années après, et en plus par lettre et non de vive-voix et ne pas avoir pu l’exprimer avant.
Il se sent seul au point que même mort il ne veut pas dans sa tombe savoir que sa famille profite de ses biens .Il utilise le mot insupportable, c’est un mot fort, c’est intenable, atroce, comme une maladie, il n’en veut pas, il le rejette .Il ne peut pas l’imaginer.
Sa solitude face à sa famille est si grande qu’il utilise le mot « haine », ce mot est aussi un mot puissant , sa détresse est grande , ses mots aussi.
On ressent aussi des menaces dans cette lettre. Attention semble t’il dire, je vais peut être donner ou pas donner, cherche t il un rapprochement tout de même par ces mots c’est à dire si vous vous rapprochez de moi je vous donnerais peut-être ? N’a-t-il en fin de compte pas perdu totalement espoir ?
On voit aussi sa solitude quand il dit qu’il pourrait être le tronc vivant, en effet le tronc d’un arbre. Le lecteur prend pitié de cet homme cherche t’ il aussi les bons sentiments de sa femme , à l’attendrir ?
Quelle image Louis donne t’il de sa famille ?
L’image que donne Louis de sa famille est plutôt une image négative, une image de personnes avides d’argent.
Dans les mots « folie de vouloir que je me dépouille « ,cela nous fait penser que sa famille n’a plus aucune lucidité et que son but est l’attente sa mort pour lui prendre l’argent .on note bien que Louis ne dit pas mon héritage non il dit : dépouille, c’est encore un mot fort que l’on n’utilise pas lorsqu’il s’agit de sa famille, quand on est dépouillé on l’est plutôt par les malfrats
.C’est donc cette image aussi qu’il nous donne de sa famille, celle qui veut le détrousser, le voler . Il utilise aussi le mot offensive pour me dépouiller : offensive , c’est un assaut, une attaque, il donne aussi une image de soldats qui partent à l’assaut pour voler les villages.
Il donne une image de partage dans cette famille il y a lui seul et les autres il dit « votre Phili » mais ce personnage est le mari de sa petite-fille , donc le mot votre ne va pas ce serait plutôt « notre Phili ».Mais visiblement il ne veut pas et marque bien pas là –même la marque de la famille désunie
.Désunie que l’on retrouve dans ces mots : « la plupart des pères sont aimés, tu étais mon ennemi, mes enfants sont passés à l’ennemi »Cela marque bien aussi L’image de la guerre, la femme l’ennemi , les enfants qui renient leurs patries, donc leur père .
Il donne une autre image de sa famille : il parle de meute et troupeau , de chiens , il ne semble plus les voir comme des humains. Ils font penser à des rapaces prêts à agir dès que Louis ne peut plus se défendre.
Voilà pour moi, j’espère que cela te plaira. A plus.
Comment Louis fait il ressortir sa solitude face à sa famille ?
On sent déjà la solitude de cet homme face à sa famille dès les premiers mots. « voici ce qui me reste , ce que j’ai gagné »Il ne parle pas d’amour mais d’argent . Il est seul avec son argent face à sa famille.
Il rajoute « années affreuses » si ses années avaient été si affreuses, c’est qu’il ne devait pas se plaire dans sa famille, qu’il devait se sentir isolé pour le dire des années après, et en plus par lettre et non de vive-voix et ne pas avoir pu l’exprimer avant.
Il se sent seul au point que même mort il ne veut pas dans sa tombe savoir que sa famille profite de ses biens .Il utilise le mot insupportable, c’est un mot fort, c’est intenable, atroce, comme une maladie, il n’en veut pas, il le rejette .Il ne peut pas l’imaginer.
Sa solitude face à sa famille est si grande qu’il utilise le mot « haine », ce mot est aussi un mot puissant , sa détresse est grande , ses mots aussi.
On ressent aussi des menaces dans cette lettre. Attention semble t’il dire, je vais peut être donner ou pas donner, cherche t il un rapprochement tout de même par ces mots c’est à dire si vous vous rapprochez de moi je vous donnerais peut-être ? N’a-t-il en fin de compte pas perdu totalement espoir ?
On voit aussi sa solitude quand il dit qu’il pourrait être le tronc vivant, en effet le tronc d’un arbre. Le lecteur prend pitié de cet homme cherche t’ il aussi les bons sentiments de sa femme , à l’attendrir ?
Quelle image Louis donne t’il de sa famille ?
L’image que donne Louis de sa famille est plutôt une image négative, une image de personnes avides d’argent.
Dans les mots « folie de vouloir que je me dépouille « ,cela nous fait penser que sa famille n’a plus aucune lucidité et que son but est l’attente sa mort pour lui prendre l’argent .on note bien que Louis ne dit pas mon héritage non il dit : dépouille, c’est encore un mot fort que l’on n’utilise pas lorsqu’il s’agit de sa famille, quand on est dépouillé on l’est plutôt par les malfrats
.C’est donc cette image aussi qu’il nous donne de sa famille, celle qui veut le détrousser, le voler . Il utilise aussi le mot offensive pour me dépouiller : offensive , c’est un assaut, une attaque, il donne aussi une image de soldats qui partent à l’assaut pour voler les villages.
Il donne une image de partage dans cette famille il y a lui seul et les autres il dit « votre Phili » mais ce personnage est le mari de sa petite-fille , donc le mot votre ne va pas ce serait plutôt « notre Phili ».Mais visiblement il ne veut pas et marque bien pas là –même la marque de la famille désunie
.Désunie que l’on retrouve dans ces mots : « la plupart des pères sont aimés, tu étais mon ennemi, mes enfants sont passés à l’ennemi »Cela marque bien aussi L’image de la guerre, la femme l’ennemi , les enfants qui renient leurs patries, donc leur père .
Il donne une autre image de sa famille : il parle de meute et troupeau , de chiens , il ne semble plus les voir comme des humains. Ils font penser à des rapaces prêts à agir dès que Louis ne peut plus se défendre.
Voilà pour moi, j’espère que cela te plaira. A plus.