Sagot :
Odile avança doucement , très lentement le long du couloir qui menait à la penderie.Elle réfléchit soudain , s'arrêta ,elle aurait du prendre un couteau .Devait-elle retourner dans la cuisine?non pas question, si elle y retournait la femme s'enfuirait à nouveau.E n ce moment ,celle-ci devait être cachée dans son armoire.Quelle idiote, aller se réfugier là , comme une petite fille qui a fait une bêtise.
Pas un bruit , juste la respiration d'Odile.Celle-ci ouvrit la porte du placard à vêtements et y alluma la lumière. Mais elle fut prise de tremblements, elle semblait avoir très froid tout à coup, elle tendit la main,elle voulait prendre l'un de ses vêtements.Elle toucha son manteau , mais retira sa main, sa veste?
Tout était glacé.Qu'est-ce que cela voulait dire? ET puis où était cette femme, Odile craignait -elle d'écarter les vêtements pour voir si elle était cachée au fond de la penderie, pourtant elle le fit .Elle poussa un énorme cri , deux yeux immenses et vitreux la regardaient apeurés, ils sortaient d'un visage blanc-gris.
Sortez, sortez immédiatement réussi à articuler Odile en reculant et paraissant éviter que sa voix et ses lèvres ne tremblent, ne pas montrer que l'on a peur, semblait être sa devise.
La lumière de la penderie s'éteignit et la femme disparue en même temps.
Non , ce n'est pas possible dit tout fort Odile tout en se dirigeant , à reculons vers son salon pour avoir toujours un oeil sur le fond du couloir.
Elle s'enferma dans la pièce et téléphona à l'agence où elle avait son contrat de location.Un malheur avait il eu lieu dans l'appartement qu'elle louait ? L'agence lui indiqua que personne n'y habitait depuis 5 ans, car un meurtre y avait été commis , celui d'une femme.
Celle-ci avait été étouffée par des cambrioleurs alors qu'elle dormait .
Odile décida de quitter les lieux, le soir même avec ses affaires .Qu'avait -elle vu?
Le fantôme de cette femme , elle ne savait pas quelle était morte et hantait son appartement depuis 5 ans.Elle avait donc aussi peur qu'Odile?
Odile le pensait -elle? Mais peu lui importait , elle avait d'autres chats à fouetter , son doctorat de droit à préparer.
A d'autres la chasse au fantôme , elle n'en avait ni le temps ni il faut bien le dire le courage;
voilà une idée, à plus.
Pas un bruit , juste la respiration d'Odile.Celle-ci ouvrit la porte du placard à vêtements et y alluma la lumière. Mais elle fut prise de tremblements, elle semblait avoir très froid tout à coup, elle tendit la main,elle voulait prendre l'un de ses vêtements.Elle toucha son manteau , mais retira sa main, sa veste?
Tout était glacé.Qu'est-ce que cela voulait dire? ET puis où était cette femme, Odile craignait -elle d'écarter les vêtements pour voir si elle était cachée au fond de la penderie, pourtant elle le fit .Elle poussa un énorme cri , deux yeux immenses et vitreux la regardaient apeurés, ils sortaient d'un visage blanc-gris.
Sortez, sortez immédiatement réussi à articuler Odile en reculant et paraissant éviter que sa voix et ses lèvres ne tremblent, ne pas montrer que l'on a peur, semblait être sa devise.
La lumière de la penderie s'éteignit et la femme disparue en même temps.
Non , ce n'est pas possible dit tout fort Odile tout en se dirigeant , à reculons vers son salon pour avoir toujours un oeil sur le fond du couloir.
Elle s'enferma dans la pièce et téléphona à l'agence où elle avait son contrat de location.Un malheur avait il eu lieu dans l'appartement qu'elle louait ? L'agence lui indiqua que personne n'y habitait depuis 5 ans, car un meurtre y avait été commis , celui d'une femme.
Celle-ci avait été étouffée par des cambrioleurs alors qu'elle dormait .
Odile décida de quitter les lieux, le soir même avec ses affaires .Qu'avait -elle vu?
Le fantôme de cette femme , elle ne savait pas quelle était morte et hantait son appartement depuis 5 ans.Elle avait donc aussi peur qu'Odile?
Odile le pensait -elle? Mais peu lui importait , elle avait d'autres chats à fouetter , son doctorat de droit à préparer.
A d'autres la chasse au fantôme , elle n'en avait ni le temps ni il faut bien le dire le courage;
voilà une idée, à plus.