Sagot :
L'école à la maison est une solution qui pourrait être idéale mais il en est parfois autrement.
Les enfants, moins en contact avec les autres enfants de leur âge ou presque, peuvent rencontrer des difficultés à s'intégrer dans leur vie active future. Je pense que l'enfant développerait un sentiment de solitude. D'autre part, le programme scolaire, moins suivi "à la lettre" et souvent plus souple à la maison (niveau horaires par exemple), peut provoquer chez certains enfants quelques carences dans certaines matières et les rendre vulnérables dans leurs études supérieures s'il en fait.
Et puis un parent n'est pas un enseignant ; même s'il possède de bonnes compétences pédagogiques, je pense que ce n'est pas suffisant pour assurer toute la scolarité d'un enfant, et que le parent a déjà toute son éducation de parent à effectuer. Il ne doit plus trop trouver sa vraie place au bout du compte.
L'école, quant à elle, a le mérite de sociabiliser un enfant. Elle est aussi une autre éducation que celle des parents, ce qui est bénéfique pour le développement des enfants.
Il est vrai qu'à l'école, les conditions de travail, d'écoute et d'attention ne sont pas toujours optimales, mais elle apporte cependant indirectement beaucoup aux élèves.
Pour un parent qui est dans le doute quant au choix de la scolarité, le mieux est de se demander ce qu'il y a de mieux pour l'enfant, ce qui est le plus adapté. Et toujours prendre la décision qui va dans le sens de l'enfant (même si ce n'est pas tout à fait en adéquation avec nos convictions), ce qui lui permettra de bien grandir et de bien évoluer en tant que personne à part entière.
Par contre, je reste quand même ouverte à une structure scolaire dans l'environnement familial par un parent dans certains cas. Effectivement si l'enfant est malade, une scolarisation normale ne lui ai pas toujours possible fonction de ses examens de santé ou visites chez le médecin ou à l'hôpital. Les horaires dans ce cas-là sont à adapter, et à la maison c'est plus facile. Quant au déplacement également, prendre les bus scolaires n'est pas toujours évident pour un enfant malade ou handicapé. Aussi, les enfants entre eux ne sont pas toujours gentils et peuvent se moquer, par exemple pour un cancer il n'y a plus de cheveux, etc... Mais le bon côté des choses à la maison, c'est que l'on n'est pas obligé de supporter ces professeurs grincheux qu'on n'aime pas toujours, ne pas se dépêcher de changer de classe dès que la cloche sonne, manger de la nourriture qui ne nous convient pas et pas toujours à l'heure où on a faim.
Alors, vous feriez quoi vous, si vous étiez enfant et que vous aviez le choix ?...
Les enfants, moins en contact avec les autres enfants de leur âge ou presque, peuvent rencontrer des difficultés à s'intégrer dans leur vie active future. Je pense que l'enfant développerait un sentiment de solitude. D'autre part, le programme scolaire, moins suivi "à la lettre" et souvent plus souple à la maison (niveau horaires par exemple), peut provoquer chez certains enfants quelques carences dans certaines matières et les rendre vulnérables dans leurs études supérieures s'il en fait.
Et puis un parent n'est pas un enseignant ; même s'il possède de bonnes compétences pédagogiques, je pense que ce n'est pas suffisant pour assurer toute la scolarité d'un enfant, et que le parent a déjà toute son éducation de parent à effectuer. Il ne doit plus trop trouver sa vraie place au bout du compte.
L'école, quant à elle, a le mérite de sociabiliser un enfant. Elle est aussi une autre éducation que celle des parents, ce qui est bénéfique pour le développement des enfants.
Il est vrai qu'à l'école, les conditions de travail, d'écoute et d'attention ne sont pas toujours optimales, mais elle apporte cependant indirectement beaucoup aux élèves.
Pour un parent qui est dans le doute quant au choix de la scolarité, le mieux est de se demander ce qu'il y a de mieux pour l'enfant, ce qui est le plus adapté. Et toujours prendre la décision qui va dans le sens de l'enfant (même si ce n'est pas tout à fait en adéquation avec nos convictions), ce qui lui permettra de bien grandir et de bien évoluer en tant que personne à part entière.
Par contre, je reste quand même ouverte à une structure scolaire dans l'environnement familial par un parent dans certains cas. Effectivement si l'enfant est malade, une scolarisation normale ne lui ai pas toujours possible fonction de ses examens de santé ou visites chez le médecin ou à l'hôpital. Les horaires dans ce cas-là sont à adapter, et à la maison c'est plus facile. Quant au déplacement également, prendre les bus scolaires n'est pas toujours évident pour un enfant malade ou handicapé. Aussi, les enfants entre eux ne sont pas toujours gentils et peuvent se moquer, par exemple pour un cancer il n'y a plus de cheveux, etc... Mais le bon côté des choses à la maison, c'est que l'on n'est pas obligé de supporter ces professeurs grincheux qu'on n'aime pas toujours, ne pas se dépêcher de changer de classe dès que la cloche sonne, manger de la nourriture qui ne nous convient pas et pas toujours à l'heure où on a faim.
Alors, vous feriez quoi vous, si vous étiez enfant et que vous aviez le choix ?...
Avantages :
Petit effectif pour un seul maître => travail plus efficace.
Un précepteur va avancer au rythme des enfants et pourra expliquer et prendre son tps sur qqch d'incompris.
Bonne connaissance des élèves/ lien de confiance/ meilleure concentration.
Meilleurs résultats plus rapidement.
Inconvénients : l'isolation des élèves mauvais pour le vie sociale (sociabilisation/ amitié/intégration).
Manque d'évaluation et de confrontation aux autres => on ne peut donc évaluer l'avance/ la stagnation/ le retard des élèves car il n'y a pas un assez grand effectif pour mesurer les différences d'apprentissage/les acquis/ non acquis...
Petit effectif pour un seul maître => travail plus efficace.
Un précepteur va avancer au rythme des enfants et pourra expliquer et prendre son tps sur qqch d'incompris.
Bonne connaissance des élèves/ lien de confiance/ meilleure concentration.
Meilleurs résultats plus rapidement.
Inconvénients : l'isolation des élèves mauvais pour le vie sociale (sociabilisation/ amitié/intégration).
Manque d'évaluation et de confrontation aux autres => on ne peut donc évaluer l'avance/ la stagnation/ le retard des élèves car il n'y a pas un assez grand effectif pour mesurer les différences d'apprentissage/les acquis/ non acquis...
