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 En lançant, dimanche 25 avril, une campagne de masse de prévention et de traitement de l'infection par le VIH, le président sud-africain Jacob Zuma a tourné l'une des pages les plus sombres de la période post-apartheid, celle du déni face au sida.

Le système de santé hérité de l'apartheid portait la marque de l'iniquité : d'un côté des infrastructures équivalentes à celles des pays occidentaux, destinées à la population blanche et aux plus fortunés ; de l'autre, pour la populations noire, une prise en charge de l'infection par le VIH laissée au gré des initiatives de certaines grandes entreprises, soucieuses de protéger leur main-d'oeuvre, ou de programmes associatifs.

 

1. montrez que le sida est un réel fléau pour l afrique du sud.

2.comparez la situation des differentes communautés face au sida

3.quelle devrait etre l 'évolution de l infection dans l avenir ?

   


Sagot :

L'Afrique du sud (South Africa) est un pays moderne et développé, qui n'a pas grand chose à voir avec d'autres pays africains beaucoup plus pauvres. Malheureusement, l'infrastructure médicale et hospitalière montre encore les séquelles de l'apartheid: les Blancs y sont beaucoup mieux soignés que les Noirs.
Le sida y est un véritable fléau: 1 000 personnes en meurent du sida, et les morts du sida représentent 71% des décès chez les 15 - 49 ans. Il faut espérer que la prise de conscience des autorités fera reculer le fléau, mais sur 2 millions de personnes qui devraient être soignées, seules 500 000 sont prises en charge. Et la crise mondiale n'arrange rien.