Son œuvre est marquée par l’ambivalence : elle est empreinte de gaieté
pittoresque et de triste cruauté, de descriptions réalistes et
d’histoires fantastiques. Il a toujours refusé d’appartenir à un
mouvement littéraire et reconnaît pour seul maître Flaubert. Atteint de
la syphilis, contractée dans sa jeunesse, il connaît des crises
d’angoisse et d’hallucination, peut-être à l’origine du Horla (1887) et
qui le conduisent à attenter à sa vie. Il meurt interné dans un hôpital
psychiatrique, dans un état de dégradation totale, un mois avant son 43e
anniversaire
Il est le principal auteur du mouvement du réalisme