Bonsoir à tous, 
Pour lundi j'ai une rédaction à faire, mais je suis incapable d'en faire une moi même....
J'aimerais beaucoup d'aide pour ceci:

Je respecte l'histoire de base de la consigne.
J'écris mon texte au passé simple et à l'imparfait.J'introduis une ellipse.
La fin de la nouvelle doit être inattendue, c'est une chute.
Je respecte les règles de grammaire et d'orthographe.
Mon texte fait au moins vingt lignes.

J'ai commencer par ça: 
L'enterrement fut terminé, Angèle rentra chez elle. Son mari est décédé suite à une chute extraordinaire. Angèle à envie de faire un peu de ménage, elle prit son balais et son aspirateur, soudain elle repensa à son mari deux ans avant, elle adorait son mari comme si c'était hier leur première rencontre, il était ensemble toutes les journées, ensemble ils faisaient même des promenades. D'un coup, Angèle rigola et pense ses dernier jour passé avec son monsieur, elle rigola de son histoire passé quelques jours avant sa mort. Cette femme s'en rappela que le plancher de l'étage s'était cassé...


Sagot :

car tous deux avaient entrepris de déplacer un meuble qui pesait très lourd. Ensemble ils tirèrent, poussèrent jusqu'à ce que le pied du meuble encré depuis des années dans les lattes du plancher arracha le bois du sol.
Angele, et son mari étonnés d'abord furent pris d'un fou-rire, ce genre de fou-rire qui en disait long et qui étaient accompagnés de malice les premiers jours de leur rencontre. Les années passés ensemble leur avaient permis de préférer rire chaque fois qu'un évènement embêtant leur arrivait. Ils étaient de caractère optimiste et vivaient leur vie avec beaucoup d'humour.
Angèle souffrait  du départ de son mari, certes mais il était semble t-il encore là pour l'aider à apprivoiser l'absence. Il était là malgré tout pour lui rappeler, leur vie, leur amour et il allait lui donner le courage d'aller de l'avant. Elle était alors particulièrement heureuse de vivre avec ce fantôme. Elle pris son courage à deux mains, et elle monta les escaliers pour consolider le plancher qu'ils avaient ensemble déterrioré.