Un froissement doux, un chuchotement monotone mais expressif, presque syllabé contre les volets clos m'éveille progressivement... Je reconnais le murmure soyeux de la neige.    

De : Colette, la retraite sentimentale, 1907.    

A quels sens colette a t-elle recours pour décrire la neige ? justifiez votre réponse.              Aidez moi s'il vous plait.



Sagot :

Moi je dirais que Colette à recours a l'ouïe parce qu'on dirait quelle décrit ce quelle entend : "le murmure soyeux de la neige"
Elle a recours à l'ouïe car au début, elle n'est pas encore réveillée et en plus, les volets de la pièce sont fermés. Donc, elle ne peut pas avoir recours à la vue, ni au toucher puisqu'elle ne touche pas à la neige, ni à l'odorat puisqu'elle ne sent rien, ni le goût. Au final, il ne lui reste plus que l'ouïe.
Et en plus, elle dit qu'elle entend le "murmure". Elle utilise le verbe entendre donc comme je l'ai dit plus haut, c'est l'ouïe.