Sagot :
1) On prend en compte les dépenses de logements, de transports et les "consommation diverses" telles que l'alimentation, l'achat de produits artisanaux, etc...
2) Ces dépenses représentes un élan de la consommation française et participe donc activement a la croisse du PIB en incitant les entreprises a produire plus pour répondre à la demande. De plus cela peut participer a la création d'emplois et ainsi réduire le fort taux de chômage que l'on observe dans l'hexagone.
3) le PIB est la somme des valeurs ajoutées de tous les agents économiques du pays. C'est un indicateur de la richesse produite par un pays et un excellent moyen de comparaison entre les nations du monde entier.
4) De nos jours la France est entrée dans une période de croissance dépressive (ralentissement de la l'augmentation du PIB) et cela entraine des conséquences directes sur le pouvoir d'achat des français qui est revu à la baisse (chômage, augmentation des impôts, ...). Comme les vacances sont considérées comme un pole de dépense dit secondaire les français font donc plus de sacrifices que dans dans les pôles primaires qui sont indispensables à la vie quotidienne (alimentation, logement, électricité,...).
5) Cela peut aggraver le ralentissement de la croissance, empirer le chômage, augmenter les prix liés au tourisme (comme l'hôtellerie, la restauration, ...) ou encore creuser le déficit de la balance commerciale.
2) Ces dépenses représentes un élan de la consommation française et participe donc activement a la croisse du PIB en incitant les entreprises a produire plus pour répondre à la demande. De plus cela peut participer a la création d'emplois et ainsi réduire le fort taux de chômage que l'on observe dans l'hexagone.
3) le PIB est la somme des valeurs ajoutées de tous les agents économiques du pays. C'est un indicateur de la richesse produite par un pays et un excellent moyen de comparaison entre les nations du monde entier.
4) De nos jours la France est entrée dans une période de croissance dépressive (ralentissement de la l'augmentation du PIB) et cela entraine des conséquences directes sur le pouvoir d'achat des français qui est revu à la baisse (chômage, augmentation des impôts, ...). Comme les vacances sont considérées comme un pole de dépense dit secondaire les français font donc plus de sacrifices que dans dans les pôles primaires qui sont indispensables à la vie quotidienne (alimentation, logement, électricité,...).
5) Cela peut aggraver le ralentissement de la croissance, empirer le chômage, augmenter les prix liés au tourisme (comme l'hôtellerie, la restauration, ...) ou encore creuser le déficit de la balance commerciale.