Sagot :
Coucou,
Voici une idée
. Mon tour n’était pas encore venu d’être reçu par ma banquière alors ne sachant que faire, je portais mon regard sur un homme à ma gauche, un banquier visiblement. Je regardais son visage en lame de couteau, ses lèvres minces et ses petits yeux noirs plissés, ses cheveux gras .Rien ne donnait pas l’envie d’être reçu par cet homme. Il était très maigre er portait un costume qu’un employé des pompes funèbres aurait trouvé parfait.
Il y avait devant lui, son ordinateur, tout un tas de feuilles, une trousse, tout semblait faire barrage, à la personne qui viendrait s’asseoir devant son bureau. Il voulait mettre des distances avec ses interlocuteurs cela ne faisait pas de doutes. De toutes façons qui aurait voulu s’assoir face à lui ?? Je le vis prendre des documents et les examiner avec une telle concentration, qu’il en était inquiétant. Il prit sa calculette, regarda à nouveau ses feuilles et avec un rictus désagréable à voir il fit des calculs. Je l’entendis émettre quelques mots qui indiquaient qu’il était ravi de ses comptes
et je supposais qu'il allait refuser un prêt à une personne.
Il me faisait penser à l’avare de Molière qui quoi qu’il arrive ne voudrait lâcher aucun de ses sous. Tout à coup, il se leva et se dirigea vers moi, catastrophe, ma banquière était malade il la remplaçait. Je le suivis tel un prisonnier se dirigeant vers l’échafaud, j’étais sûr de ne pas avoir mon prêt.
. Mon tour n’était pas encore venu d’être reçu par ma banquière alors ne sachant que faire, je portais mon regard sur un homme à ma gauche, un banquier visiblement. Je regardais son visage en lame de couteau, ses lèvres minces et ses petits yeux noirs plissés, ses cheveux gras .Rien ne donnait pas l’envie d’être reçu par cet homme. Il était très maigre er portait un costume qu’un employé des pompes funèbres aurait trouvé parfait.
Il y avait devant lui, son ordinateur, tout un tas de feuilles, une trousse, tout semblait faire barrage, à la personne qui viendrait s’asseoir devant son bureau. Il voulait mettre des distances avec ses interlocuteurs cela ne faisait pas de doutes. De toutes façons qui aurait voulu s’assoir face à lui ?? Je le vis prendre des documents et les examiner avec une telle concentration, qu’il en était inquiétant. Il prit sa calculette, regarda à nouveau ses feuilles et avec un rictus désagréable à voir il fit des calculs. Je l’entendis émettre quelques mots qui indiquaient qu’il était ravi de ses comptes
et je supposais qu'il allait refuser un prêt à une personne.
Il me faisait penser à l’avare de Molière qui quoi qu’il arrive ne voudrait lâcher aucun de ses sous. Tout à coup, il se leva et se dirigea vers moi, catastrophe, ma banquière était malade il la remplaçait. Je le suivis tel un prisonnier se dirigeant vers l’échafaud, j’étais sûr de ne pas avoir mon prêt.