Bonjour à tous, Voilà je dois faire une rédaction de minimum 40 lignes sur une métamorphose. En fait, je participe à des soldes et je vois peu à peu les acheteuses se métamorphoser en panthères (lionnes, tigres...). Et je dois donner mon impression sur cette situation en mettant 10 propositions subordonnées conjonctives. J'ai déjà fait toute la rédaction, j'aimerai en fait que vous me corrigiez (si possible) mes fautes d'orthographe, grammaire, vous pouvez aussi changer mes phrases si vous trouvez qu'elles sont mal formulées. Et en fait j'ai mis qu'une seule proposition subordonnée conjonctive...donc j'ai besoin de vous ! Et je trouve que ma fin est nulle, donc j'aimerai aussi votre aide pour ça :D S'il vous plait.

 

Voilà ma rédaction

 

Rédaction n°14 : Métamorphose Le magasin de chaussures ouvre à 8h heures pile. Du monde attend devant les portes depuis 6h du matin, essentiellement des femmes. Le crépuscule se laisse encore sentir. Cela grogne dans la foule, les femmes s’impatientent. Le temps passe au ralenti, c’est interminable. On attend toute le commencement, le début des festivités : les soldes ! La bataille s’annonce et la devise du chacun pour soi va rapidement se vérifier devant les chaussures. Qui partira avec sa paire de chaussure préférée ? Et qui arrivera à repartir ? Voila les questions que tout le monde se pose. Le vendeur arrive avec dans une main tremblante, les clés, tel un sésame qui nous ouvre la caverne d’Ali Baba. Il sait qu’il va bientôt déverrouiller la cage aux lions, plutôt celle des lionnes et on peut voir de la sueur qui perle sur son front. Les portes s’ouvrent et les panthères sautent sur leur proies : escarpins, bottines, ballerines… Tout est sens dessus dessous ! A genoux, une femme guette l’horizon. Elle s’approche avec beaucoup de précautions d’une proie choisie à l’avance. Sa marche est prudente et silencieuse. Alors qu’elle s’appuie sur ses pattes postérieures pour se jeter sur sa victime ; une traitresse ose les attraper avant elle et s’enfuie vers les caisses. La première femme se met à la poursuite de la détentrice de ses escarpins noirs, ne voulant pas la laisser réaliser cet acte impensable : elle la provoque donc en duel. Après le rugissement de la provocatrice, tout le monde se met en cercle autour des deux combattantes. Immédiatement un grand calme s’installe et tout le monde regarde le combat. La combattante avec les escarpins pousse un grognement de rage. Mais l’attaquante n’a pas peur, elle sort ses griffes et défie du regard son adversaire. Les deux jeunes femmes tournent à l’intérieur du rond évitant un contact physique. Je vois en elles la rage d’une lionne affamée. Mais le calme se rompue, la première femme bondit sur son adversaire l’obligeant à s’affaler sur le sol. Cependant, l’autre ne se laisse pas faire et commence à rentrer ses griffes dans la peau de sa rivale et en laisse une trace. Immédiatement, les deux se relèvent succinctement. La première combattante prend du recul puis fonce sur sa rivale qui se pousse pour l’éviter ce qui la contraint à se cogner contre le mur. Alors que son adversaire déséquilibré essaie toujours de se relever, la demoiselle attrape les escarpins et file à la caisse, laissant derrière elle les séquelles de son combat. Après la fin de ce combat, la guerre reprend avec un rythme soutenu. Les femmes sont de plus en plus déchainées, cela tiraille dans tous les coins. Une femme chute en voulant attraper une boîte à chaussure trop haute pour elle, mais personne ne l’aide à se relever et n’hésite pas à lui piquer sa paire de chaussure. Dans ce magasin, personne ne s’entraide, tout le monde est solitaire. Chacune à marquer son territoire et si l’on ose s’y aventurer, un combat violent nous attend. L’atmosphère est pesante. Deux heures se sont écoulées et les femmes sont toujours aussi sauvages. Une fois, qu’une femme a attrapé sa proie, elle court la mettre dans un endroit sûr avant d’aller en chercher une autre, elle évite de se faire repérer. Les employés du magasin se cachent derrière les caisses, ils évitent eux aussi de se faire dévorer. Une fois lancées, les femmes ne peuvent s’arrêter.



Sagot :

Bonjour! Je corrige tes fautes. On attend toutes* le commencement. Sa paire de chaussures* préférées. Avant elle et s'enfuit*. Et je trouve que ton histoire est super !

- Le crépuscule se FAIT encore sentir (j'aurais plutôt mis ça).

- touteS

- du "chacun pour soi"

- devant le rayon des chaussures.

- Le vendeur arrive, tenant les clées d'une mains tremblante,

- ou plutôt / sur leurs fronts.

- se rompt

- a marqué / et si on ose /

 

 

très jolie dissert au passage ;)