« Molière nous dit qu’il veut corriger les hommes et la critique s’évertue à justifier cette affirmation de circonstance. En vérité, il ne pense qu’à nous faire rire. »
Dans quelle mesure cette réflexion de René Bray dans Molière, homme de théâtre (1992) s’applique-t-elle à votre lecture du Malade imaginaire ?
Pourriez vous me faire une dissertation sur ce sujet.