s) Dans les extraits suivants, relevez et nommez
les figures de style.

a. Jamais un ennemi, pas même après sa mort, ne
devient un ami. (Sophocle, Antigone)

b. Déjà la nuit en son parc amassait
Un grand troupeau d'étoiles vagabondes.
(Du Bellay, L'Olive)

c. Ma tante Mélie est muette. [...] Ses yeux, son
front, ses lèvres, ses mains, ses pieds, ses nerfs, ses
muscles, sa chair, sa peau, tout chez elle remue, jase,
interroge. (Vallès, L'Enfant)

d. Bergère ô tour Eiffel le troupeau des ponts bêle
ce matin (Apollinaire, << Zone >>)

e. Une fusillade intensive, furieuse, inouïe, battait
les parapets de la tranchée. (Barbusse, Le Feu)

f. L'aurore grelottante, en robe rose et verte
S'avançait lentement sur la Seine déserte.
(Baudelaire, « Le crépuscule du matin >>)

g. Cosette, si jolie et si fraîche à son arrivée dans
cette maison, était maintenant maigre et blême.
(Hugo, Les Misérables)

MERCI D’AVANCE