VIII LE CHIEN ET LE FLACON
Mon beau chien, mon bon chien, mon cher toutou, approchez et venez
respirer un excellent parfum acheté chez le meilleur parfumeur de la ville. >>

Et le chien, en frétillant de la queue, ce qui est, je crois, chez ces pauvres êtres, le
signe correspondant du rire et du sourire, s'approche et pose curieusement son
nez humide sur le flacon débouché; puis, reculant soudainement avec effroi, il
aboie contre moi en manière de reproche.
<< - Ah ! Misérable chien, si je vous avais offert un paquet d'excréments, vous
l'auriez flairé avec délices et peut-être dévoré. Ainsi, vous-même, indigne
compagnon de ma triste vie, vous ressemblez au public, à qui il ne faut jamais
présenter des parfums délicats qui l'exaspèrent, mais des ordures soigneusem
choisies. >>

Identifiez les différentes propositions composant la phrase « Misérable chien, si je vous avais offert un paquet d'excréments, vous l'auriez flairé avec délices et peut-être devore » en decomposant la phrase en plusieurs parties. ?