bonjour pouvez vouus m'aide svp pourbmon devoir en fraçaisÉtape 1: Distinguer le merveilleux et le fantastique Texte 1. La fée dit alors à Cendrillon : « Eh bien ! voilà de quoi aller au bal: n'es-tu pas bien aise ? Oui, mais est-ce que j'irai comme cela, avec mes vilains habits ? » 1 Sa marraine ne fit que la toucher avec sa baguette, et en même temps ses habits furent changés en des habits d'or et d'argent, tout chamarrés' de pierreries ; elle lui donna ensuite une paire de pantoufles de verre, les plus jolies du monde. Quand elle fut ainsi parée, elle monta en carrosse; mais sa marraine lui recommanda, sur toutes choses, de ne pas passer minuit, l'avertissant que, si elle demeurait au bal un moment davantage, son carrosse redeviendrait citrouille, ses chevaux des souris, ses laquais des lézards, et que ses beaux habits reprendraient leur première forme. Charles Perrault, << Cendrillon, ou la petite pantoufle de verre », 1697. 1. Ornés. 2. Richement vêtue. Parcours A *** Texte 1 a) Quels sont les éléments surnatu- rels présents dans cet extrait ? b) Cendrillon semble-t-elle surprise par la magie de la fée ? Texte 2 a) Que se passe-t-il d'étrange ? b) Que ressent le narrateur? Justifiez en citant le texte. c) Est-il sûr de ce qu'il perçoit ? Expliquez la différence entre le merveilleux (texte 1) et le fantastique (texte 2) en utilisant les mots suivants : surnaturel, étrange, frayeur, hésitation, confiance. Texte 2. Invité dans une propriété en Normandie, le narrateur se couche dans sa chambre le soir venu. Le feu qui flambait jetait des reflets rougeâtres dans l'appartement, de sorte qu'on pouvait distinguer les personnages de la tapisserie [...]. C'étaient les aïeux' de notre hôte, des chevaliers bardés de fer, des conseillers en perruque, er de belles dames au visage fardé et aux cheveux poudrés à blanc, tenant une rose à la main. 7 Tout à coup, le feu prit un étrange degré d'activité une lueur blafarde2 illumina la chambre, et je vis clairement que ce que j'avais pris pour de vaines peintures était la réalité; car [...] leurs lèvres s'ouvraient et se fermaient comme des lèvres de gens qui parlent. mais je n'entendais rien que le tic-tac de la pendule et le sifflement de la bise d'automne. Une terreur insurmontable s'empara de moi, mes cheveux se hérissèrent sur mon front, mes dents s'entrechoquèrent à se briser, une sueur froide inonda tout mon corps. Théophile Gautier, « La Cafetière», 1831. 1. Ancêtres. 2. Pâle. Parcours B✰✰✰ Textes 1 et 2 Comment qualifieriez-vous l'at mosphère de chacun de ces extraits ? justifiez vos réponses. Textes 1 et 2 Montrez que les personnages se comportent de manière opposée face au surnaturel. Qu'est-ce qui différencie le merveilleux (texte 1) du fantastique (texte 2)?
merci d'avance