J'ai besoin d'aide pour mon français, je vous envoie la consigne puis le texte. Aidez moi svp !! (devoir sur le livre de victor hugo "Le dernier jour d’un condamné "Chapitre 48 ) (j'offre 20pts)
Consigne:
Rédaction d’un paragraphe de commentaire: méthode IPI
Après un travail de brouillon avec des relevés d’indices, on peut rédiger ainsi le premier paragraphe de l’axe ou «grande partie» II
Le prisonnier sur le chemin de l’échafaud est aussi un être totalement seul (METHODE: Ici je rappelle l’idée directrice de l’axe II et ensuite je développe ma «sous-partie» A )
Dans ce passage en effet , l’auteur montre un prisonnier que même l’église abandonne.On le voit pourtant à la recherche du secours de Dieu , dans son comportement: « j’ai pris le crucifix et je l’ai baisé» et dans son discours retranscrit au style direct « -Ayez pitié de moi , ai-je dit, ô mon Dieu!» . Le « ô» vocatif et la modalité exclamative montrent bien l’émotion du condamné. Pourtant , pas de secours de ce côté-là et V Hugo le révèle avec le malentendu sur le sens du nom « froid» répété trois fois. Le prêtre par sa question « vous tremblez de froid(..)?» montre bien sa sollicitude mais ne semble pas mesurer le désarroi du prisonnier ce que confirme la phrase avec l’ interjection désespérée « Hélas! pas seulement de froid». Enfin l’abandon de l’église est explicite avec la phrase mise en valeur car elle constitue un paragraphe à elle seule « Je vacillais …, ne prêtant même plus d’attention au prêtre et au crucifix»
• Ce qui est entre guillemets: les « Indices» , les citations du texte . ( pas trop logues si possible: sinon on manque de précision
• Ce qui est souligné: les Procédés: le « comment c’est écrit?»
• Le reste: l’Interprétation qui précise l’idée force: le condamné ne peut même pas trouver secours dans la religion .
texte:
Chapitre 48 ( extrait) Le dernier jour d’un condamné
Après un travail de brouillon avec des relevés d’indices, on peut rédigerainsi le premier paragraphe de l’axe ou «grande partie» II
Le prisonnier sur le chemin de l’échafaud est aussi un être totalement seul (METHODE: Ici je rappelle l’idée directrice de l’axe II et ensuite je développe ma «sous-partie» A )
Dans ce passage en effet , l’auteur montre un prisonnier que même l’église abandonne. On le voit pourtant à la recherche du secours de Dieu , dans son comportement: « j’ai pris le crucifix et je l’ai baisé» et dans son discours retranscrit au style direct « -Ayez pitié de moi , ai-je dit, ô mon Dieu!» . Le « ô» vocatif et la modalité exclamative montrent bien l’émotion du condamné. Pourtant , pas de secours de ce côté-là et V Hugo le révèle avec le malentendu sur le sens du nom « froid» répété trois fois. Le prêtre par sa question « vous tremblez de froid(..)?» montre bien sa sollicitude mais ne semble pas mesurer le désarroi du prisonnier ce que confirme la phrase avec l’ interjection désespérée « Hélas! pas seulement de froid». Enfin l’abandon de l’église est explicite avec la phrase mise en valeur car elle constitue un paragraphe à elle seule « Je vacillais …, ne prêtant même plus d’attention au prêtre et au crucifix»