Bonjour j’ai un devoir que j’arrive vraiment pas à faire j’ai énormément de mal en français je Vous est écrit le début du texte car je ne peut pas mettre 2 image je vous ai mis la suite en pièce jointe merci : CONTRACTION DE TEXTE
SUJET
Résumez le texte de Gisèle Halimi en 190 mots. Une tolérance de +/- 10%
est admise : votre travail comptera au moins 171 et au plus 209 mots. Vous
placerez un repère, dans votre travail, tous les 50 mots et indiquerez, à la fin
de la contraction, le nombre de mots qu'elle comporte.



Une politique des quotas¹
Ce sont des «idéaux» qui, dans les sociétés industrialisées² ont permis au pou-
voir politique d'être un monopole masculin. Quelques exceptions de parti-
cipation féminine³ renforcent, par leur rôle d'alibi pour de telles pratiques, le
véritable apartheid sexuel.
Il faut donc une politique volontariste.
On aura beau jeu, pour s'y opposer, de brandir les Constitutions et leur univer-
salisme. Mais les droits de l'homme ne seront jamais ceux de la femme tant que
la pratique, faisant explicitement état de la différence sexuelle, ne décidera pas
de moyens propres à créer une égalité de droits.
Car, à quoi sert un droit proclamé depuis un demi-siècle (l'accessibilité des
femmes au vote et à l'élection politiques), s'il se traduit par une absence aussi
éloquente des femmes dans les assemblées élues?
La pratique des quotas n'est en rien contraire aux textes constitutionnels et
législatifs. Elle refuse l'hypocrisie, car elle fait sien le constat d'une inégalité
sexuelle, et propose, justement comme le proclament les textes universalistes,
d'étendre l'égalité aux deux moitiés de l'humanité.
Signalons au passage que définir cette moitié du ciel comme une « catégorie >>
ou une «corporation», ainsi que s'entêtent à le faire les adversaires de toute
mesure de pratique égalitaire, relève de l'absurde et de la méconnaissance de
la grande règle qui permet la perpétuation de l'espèce: l'existence des deux
genres qui incluent, chacun, toutes les catégories » ou «corporations » (Aucun
clivage ne comporte les caractéristiques uniques, «inclassables » dans leur spéci-
ficité comme celui des sexes.
kes.]
En théorie, on peut naître ouvrier et devenir chef d'entreprise (changement de
classes socio-économiques), subir un grave handicap et guérir (changement de
groupe), ou inversement. Les jeunes vieilliront et seront donc, selon les époques,
d'une catégorie ou d'une autre. Les appartenances raciales ou les couleurs de
peau-il est vrai - ne permettent pas de changement de camp. Comme le sexe.
Mais la différence irréductible entre ces clivages tient au fait que toutes les…