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" Un projectile siffla à leurs oreilles, un autre. Des mitrailleuses se mirent en branle, tout 8 près. Ils se jetèrent dans un profond entonnoir, ils avaient de l'eau jusqu'aux épaules. Les tirs se raccourcissaient, l'attaque avait commencé et les fusées trouaient le brouillard. Soudain, ils to entendirent un cliquetis d'armes. Des pas lourds passèrent à quelques mètres d'eux, ils virent briller une baïonnette. Ils se figèrent, les nerfs à vif. Quand le danger fut passé, Maurice dit "

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" Si quelqu'un vient dans notre trou, il n'y a pas à hésiter, c'est lui ou nous. Il faut dégainer les premiers. Si l'eau gêne, il faut faire ça au couteau. François était trop transi pour ajouter quoi que ce soit. Il se contenta de sortir son arme blanche. Ils attendirent encore une heure interminable sous la mitraille. Tout à coup, le vacarme s'intensifia. Tout près d'eux, une bousculade, un corps lourd qui A dégringole dans leur trou, tombe sur François en gémissant, s'accroche à lui. François lâche : - Maurice, je ne peux pas, je ne peux pas!
2. Lignes 16 à 18: a. Quels temps sont employés lignes 16 et 17 ? b. Expliquez la valeur de chacun d'eux. c. Le temps employé à la ligne 18 a-t-il la même valeur ? Nommez-le et expliquez. 3. Lignes 7 à 11: Quel est le champ lexical dominant ? Commentez ce choix de l'auteur.​