Si l'on ignore la mort, il n'est pas possible d'apprécier le présent. Rien ne serait plus triste que de se savoir immortel. En imaginant demain, ce qu'apparemment aucun animal ne sait faire, nous avons donné valeur au présent. Le prix à payer est l'angoisse de l'aboutissement, la disparition finale que ne pouvons plus ignorer. Je ne trouve pas que ce prix soit un prix exorbitant. Albert Jacquard, Petite Philosophie à l'usage des non philosophes, 1997 a). Soulignez le thème. Surlignez la thèse. Encadrez les arguments. b). Quelle phrase constitue une concession à la thèse adverse ? c). Quelle la conclusion ?
aidez moi svp, c'est léger