Voici la fin du poème d’amour de M. Desbordes-Valmore (voir p.28 LLS).
[ N’écris pas ces doux mots que je n’ose plus lire :
Il semble que ta voix les répand sur mon cœur ;
Que je les vois brûler à travers ton sourire ; Il semble qu’un baiser les empreint sur mon cœur. N’écris pas ! ]
M. Desbordes-Valmore, Poésies posthumes, 1860. Consigne Vous êtes le destinataire de ce poème : écrivez un mail en réponse. Vous tenterez de convaincre la personne aimée qu’il faut continuer à échanger des mots malgré la douleur de la séparation.​


Sagot :