Texte à corriger
Quelle horreur ! Ce texte est bourré d'erreurs d'orthographe ! Veux-tu bien m'aider à le corriger ?
Laisse-moi, toit qui vient doucement poser tes
mains sur mon frond. Je déteste tout, et par-
dessus tout la mere! Vas l'a regarder, toi qui
l'aimes ! Elle bat la terasse, elle fermante;
elle miroite, couleur de poisson mort. Sous la
vague plombé, je devine le peuple abominable
des bête sans pied, plate, glissantes, glacés...
Tu ne sens donc pas que le flo et le vent porte,
jus que dans cette chambre, l'odeur d'un
coquillage gâté?... Oh! revien toi qui peut
presque tout pour moi !
J'appartiens à un pays que j'ai quitter. Tu ne
peux empêcher qu'à cette heure s'y
épanouissent au soleil toute une chevelure
embaumée de forêts. Viens, toi qui l'ignores,
vient que je te dise tout bas: le parfum des
bois de mon pays égal la fraise est la rose.
Colette, Les vrilles de la vigne
Pour t'aider:
Retrouve
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7 terminaisons verbales incorrectes
2 erreurs grammaticales (homophone)
7 erreurs lexicales
1 accord du participe passé employé avec
un auxiliaire
4 accords dans le groupe nominal